Et voici "Monstres au collège !", l'atelier théâtre, son, et histoires inventées de toute pièce des élèves du collège Albert Camus et de la Compagnie Les fruits du hasard.
Vraaaoooooouuuuum ! Que va t-il donc se construire avec tout le chambard des histoires libres, des musiques sans limites et des images en folie ? Une invasion de mondes inconnues et étranges ? Un voyage halluciné et coloré ? Des peurs des pleurs des rires camouflés ? Chaque lendemain de lundi vous retrouverez ici les expériences farfelues et à sensation de cet atelier aux résultats dorénavant imprévisibles ! C'est parti mon kiki, rendez-vous en fin d'année ! Improvisons improvisons !

lundi 1 décembre 2014

Atelier, atelier, atelier....



... de fabrication d'éveil de découverte de surprises de mutation d'élévation de transformation de jeu d'imagination d'improvisation de passage à tabac du réel de rêve de rigolade d'invention sérieuse d'émotion de l'autre de soi de bizarre et d'étrange de monstre(s) de voyage de ballade intelligente de pensée de transat de lumière tamisée de récrée de spectacle de théâtre et de son et d'écriture d'histoires folles ou loufoques ou complétement fausses de bruits de musique avec les radiateurs - t'appel ça d'la musique ? -  de mots et de parole de lundis farfelus pas prévus...

Mais un atelier alors c'est une expédition. L'embarquement à voir ce qui va se passer si l'on tente un truc que l'on n'a jamais fait. C'est une Odyssée, un transport en commun pas banal, pas dans le rang. Un chemin aux herbes folles.

Ce qui va sortir de tout ceci n'est pas le plus important.
Ce qui va rester imprimé au creux des idées et des futurs souvenirs est très important.
Ce sont les clefs pour ne pas être endormi face au monde... rester un enfant et rester surpris - puis vouloir tout changer, pourquoi pas ?



La journée électrique du 1er décembre par Gerard Savin.



















Les nouveaux monstres ont débarqués.



Voir se dessiner un monstre est un phénomène magique. Tout peut arriver ! Aucune limite si ce n'est la peur de mal faire. Une fois lancé, l'inventeur de monstre est un génie. Imprévisible, spontané, rempli d'histoires inventées, de mondes enchantés, de culture encore un peu libre, d'innocence.
Et "l'erreur" ? Le mal faire, le mal dessiné ? Aaaah mais justement ! C'est tout l’intérêt ! Car c'est là que se cache d'immenses possibilités. C'est dans ce changement de projet, ce chemin de traverse imprévu que se niche la force de l'invention, la sublime improvisation.
Regardez les ces monstres. Ne sont-ils pas tous magnifiques ? Différents, uniques, impressionnants.
















Premiers sons, ou bruits, ou sons, ou musique, ou bruits ou sons ou, euh.... mais qu'est ce que c'est que ce bazar ?



C'est souvent une émotion que de passer d'un monde de "musique" à un monde des sons. L'émotion d'une émotion nouvelle. La découverte que chaque objet peut soudain devenir l'instrument de son imagination sonore - la plus libre, la plus folle, la plus inventive, la plus personnelle. 
La possibilité toute simple de révéler ce qui en chacun de nous existe, sa sensibilité, sa manière de faire, "son" son,  sa trouvaille, son écoute, son oreille, ce qui nous fait interagir les uns vis-à-vis des autres et les uns vis-à-vis du lieu dans lequel on est.




Promis ! La prochaine fois on enregistre toutes les pièces improvisées, et on les mets en écoute ici. Ce sera un vrai voyage dans une pièce grise devenue enfin une île aux merveilles !


extrait de la première pièce














Théâtre et tutti quanti.

Ecriture !